Vous ou votre partenaire consommez du porno et vous en souffrez ? Votre RDV en ligne en 24h
Abordez sans tabou la pornographie avec un expert Coopleo en ligne. Sortez de l’isolement face à vos questions : des solutions existent. Prenez rendez-vous.


Rendez-vous rapide sous 48h
en visio ou cabinet
Séances facturées 35€ au lieu
de 76€ en moyenne
Un accompagnement complet,
avant et après le RDV
Comment savoir si la consommation de porno nuit à votre couple ?

✔ Vous avez découvert ou deviné que votre partenaire consomme du porno, et vous vous sentez blessé(e).

✔ Vous avez l’impression que le porno crée un fossé entre vous.

✔ La sexualité dans le couple semble s’éteindre pendant que l’autre fantasme ailleurs.

✔ Vous n’osez pas en parler, ou chaque tentative tourne à la dispute.
Comment faire face à la consommation de porno dans le couple ?
1.
Préparez votre RDV
avec la conseillère conjugale et familiale Florence Peltier. En solo ou en couple. Définissez vos objectifs et posez le cadre de votre séance.
2.
Téléconsultez un sexologue Coopleo
en échangeant à distance, en visio ou par téléphone.
3.
L’accompagnement continue
avec des guides pratiques et contenus validés par nos experts, une thérapie suivie ou un parcours en ligne.

Pourquoi choisir Coopleo pour aborder la pornographie ?
Un réseau de professionnels certifiés et expérimentés.
Une prise en charge rapide et confidentielle.
Une approche bienveillante et orientée solutions.
Des résultats validés par des centaines de couples.
AVIS CLIENTS
95%
des 3 500 couples accompagnés par un expert voient leur relation s’épanouir
Alix
Plateforme hyper intuitive qui m’a permis de trouver rapidement un professionnel et de prendre rendez-vous. C’est pratique d’avoir toutes les infos au même endroit ça facilite la démarche de se faire aider. Je recommande !
Claire
Ça nous a vraiment aidé ! Je recommande 🙂
Théophile
J’ai trouvé l’expérience tres intéressante, ça a sauvé mon couple et le SAV est top !
Les professionnels qui vous accompagnent chez Coopleo
Comprendre les risques de la consommation de porno
La pornographie et la masturbation chez l’homme
Pour beaucoup d’hommes, la pornographie et la masturbation sont un moyen de soulager une tension interne.
Elle est souvent liée au stress professionnel ou personnel, au point d’empêcher de travailler ou de dormir.
Cette habitude s’installe parfois dès l’adolescence, comme réponse à l’anxiété scolaire, au stress de performance, à l’insécurité familiale ou au manque d’estime de soi. Mais ce n’est pas seulement une question de stress : beaucoup d’hommes portent un imaginaire sexuel riche, avec le désir de sensualité, d’érotisme ou de pratiques nouvelles qu’ils n’osent pas toujours partager avec leur partenaire par peur de paraître lourds ou irrespectueux.
Faute de dialogue, la pornographie devient une échappatoire pour vivre une sexualité pulsionnelle sans prise de risque émotionnel.
Cette consommation répétée peut provoquer une désensibilisation : la sexualité ordinaire n’excite plus, le désir s’éteint, les érections deviennent difficiles, voire l’éjaculation problématique.
Pour retrouver une sexualité vivante et partagée, il faut passer de la désensibilisation à la re-sensibilisation : réapprendre à se parler, partager ses envies sans honte, reconstruire la confiance et le plaisir à deux.
Pourquoi le cerveau devient accro au porno
La pornographie stimule les circuits de la dopamine, l’hormone du plaisir et de la récompense.
À chaque visionnage, le cerveau associe les images à une montée de plaisir immédiate, sans effort, ni lien émotionnel. À la longue, cette répétition peut entraîner une tolérance : il faut plus de contenu, ou des scénarios plus intenses, pour ressentir la même excitation.
Ce mécanisme est proche de celui observé dans d’autres formes d’addiction comportementale (jeux vidéo, paris en ligne…). Il ne s’agit pas forcément d’une « dépendance » au sens clinique, mais plutôt d’un conditionnement cérébral qui peut, dans certains cas, altérer le rapport au désir réel et à l’intimité partagée.
Les effets d’une consommation excessive sur la sexualité
À forte dose ou dans la durée, la consommation de pornographie est nocive.
Elle entraîne :
une baisse du désir pour son/sa partenaire (le cerveau s’habitue à des stimulations fictives),
une difficulté à éprouver du plaisir sans support visuel,
des troubles de l’érection (surtout chez les jeunes hommes),
une désynchronisation du rythme sexuel dans le couple.
Certains utilisateurs rapportent aussi une perte de spontanéité, des fantasmes déconnectés de la réalité ou une difficulté à s’engager émotionnellement pendant l’acte sexuel. Le plaisir devient dissocié du lien, ce qui peut créer une forme de solitude à deux.
L’impact sur l’estime de soi et les attentes sexuelles
La pornographie diffuse une image idéalisée, stéréotypée voire violente de la sexualité, éloignée de la réalité des corps, des désirs et des émotions.
À force d’exposition, cela peut générer :
des comparaisons physiques dévalorisantes,
des doutes sur ses propres performances,
un sentiment d’échec ou de honte,
des attentes irréalistes envers le/la partenaire.
Ces effets concernent autant ceux qui consomment que ceux qui découvrent la consommation de leur partenaire, avec parfois un sentiment de trahison ou d’intrusion dans l’intimité du couple.
Faut-il arrêter complètement la pornographie ?
La pornographie n’est pas toujours un problème en soi. Elle peut faire partie de la vie sexuelle de certaines personnes ou de certains couples.
Le vrai repère, c’est l’effet qu’elle produit :
Si elle devient un automatisme, un refuge émotionnel, ou remplace les échanges réels,
Si elle entraîne des conflits ou de la souffrance dans le couple,
Ou si elle crée une gêne ou un mal-être personnel, alors il est temps de s’interroger.
Un sexologue ou un thérapeute de couple peut aider à faire le point, comprendre le rôle que joue la pornographie dans la vie intime, et réinventer une sexualité plus consciente et connectée.
Définition : consommation de pornographie
La consommation de pornographie désigne le fait de regarder de manière volontaire des contenus à caractère sexuel dans le but d’éprouver du plaisir, de stimuler l’excitation ou de satisfaire un besoin émotionnel. Cela peut se faire seul ou en couple, ponctuellement ou de manière répétée.
Regarder du porno n’est pas un phénomène marginal : près de 8 hommes sur 10 et 6 femmes sur 10 disent avoir consulté un site porno, selon une étude IFOP. Mais lorsque cette pratique devient fréquente, compulsive, ou source de tensions dans le couple, elle peut poser des questions sur le rapport au désir, à l’autre, ou à soi-même.
Il ne s’agit pas de juger, mais de comprendre : à quoi sert cette consommation ? Qu’est-ce qu’elle dit du lien dans le couple, ou d’un besoin non comblé ? Ce sont ces pistes qu’un professionnel peut aider à explorer.

FAQ sur la consommation de porno
Mon conjoint regarde du porno, est-ce normal ?
Courant oui. Normal, pas sûr.
La consommation de porno est aujourd’hui très répandue : l’accès est facile, les images sont conçues pour provoquer une excitation rapide et intense.
Mais ce n’est pas parce que c’est courant que c’est neutre ou sans effet.
En couple, c’est rarement un sujet anodin. Regarder de la pornographie n’est pas juste “se distraire” : c’est s’exciter seul, dans un univers qui caricature la sexualité, sans tendresse ni lien affectif.
Quand c’est régulier ou caché, cela peut avoir des conséquences négatives :
- Baisse de désir pour le partenaire réel
- Besoin de stimuli sexuels de plus en plus forts
- Moins de plaisir dans la sexualité partagée
- Sentiment de trahison ou d’infidélité fantasmée chez le partenaire
Beaucoup de couples viennent en consultation parce que le porno en ligne a créé une fracture : il s’est invité comme une tierce personne dans l’intimité.
Donc oui, c’est courant. Mais ce n’est pas toujours “normal” au sens de sain ou sans danger.En parler ensemble, c’est déjà choisir de ne pas laisser ce sujet miner la confiance et la sexualité du couple.
Quelles sont les conséquences sur la vie de couple de la consommation de porno ?
Le porno n’est pas la vraie vie : c’est du cinéma, pas la sexualité d’un couple.
Le porno, c’est du cinéma. Les acteurs sont choisis et entraînés pour correspondre à des fantasmes irréalistes. Comme le rappelle le Dr Salama, gynécologue et sexologue :
“Les acteurs du X ont des pénis d’au moins 20 cm (1 % de la population) et sont des éjaculateurs pré-coïtaux : ils peuvent tenir 45 minutes sans éjaculer. Ne vous comparez pas à ça, c’est du cinéma, pas la vraie vie.”
Dans la réalité :
1 homme sur 5 éjacule en moins d’1 minute.
1 homme sur 3 en moins de 2 minutes.
Quand on consomme beaucoup de pornographie en ligne, on finit par prendre ces images pour modèle. Cela peut installer des attentes irréalistes : vouloir être toujours performant, tenir des durées impossibles, multiplier les positions comme dans un scénario chorégraphié.
Résultat ? Cela alimente l’anxiété de performance, la peur de ne pas être “à la hauteur”, des troubles de l’érection ou de l’éjaculation, et beaucoup de honte ou de silence dans le couple.
La sexualité de couple, elle, est faite de tendresse, de sensualité, d’écoute.
Elle n’a rien à voir avec la performance crue et standardisée des vidéos pornographiques.
En consultation, nous aidons les couples à déconstruire ces mythes, à y voir plus clair et à reconstruire une intimité qui leur ressemble vraiment.
Je me sens mal car mon partenaire regarde du porno
C’est une réaction très fréquente, et surtout : c’est légitime.
Quand on découvre que son partenaire regarde de la pornographie, ce n’est pas juste “des images”. Ça peut être vécu comme une véritable blessure : une intrusion dans l’intimité du couple, un sentiment de trahison ou de concurrence impossible à combattre.
Hélène Dumont, conseillère conjugale et sexothérapeute, reçoit beaucoup de femmes seules, venues parce qu’elles ont appris ou deviné que leur mari consomme de la pornographie en ligne. Elles se sentent à la fois trahies par leur conjoint et envahies par cet univers fantasmatique :
« La présence de la pornographie pour ces femmes inscrit leur couple dans une relation triangulaire. Il n’y a plus “toi et moi” dans l’intimité sexuelle, il y a “toi et moi et la pornographie”.
Le film porno s’intercale comme une tierce personne. Cela évoque l’infidélité.
La pornographie est alors considérée comme une maîtresse fantasmatique faisant effraction dans ce lieu d’intimité qu’est la sexualité. »
Les experts de la relation conjugale confirment que ces émotions sont valides. Ce n’est pas “exagérer” que de se sentir blessé.e ou menacé.e.
Ces mots disent bien pourquoi c’est si douloureux : le porno peut devenir une “autre femme” ou un “autre homme”, une présence qui vole la place de l’échange vrai.
Un sexologue ou un thérapeute de couple peut vous accompagner pour que ce sujet ne détruise pas le lien mais devienne un tremplin de mieux se connaître, se dire et se retrouver.
Comment parler de porno dans le couple ?
Parler de porno en couple, c’est arrêter de faire semblant que ça n’existe pas.
La consommation de pornographie soulève des questions intimes : peur de ne pas suffire, honte, frustration. Beaucoup préfèrent éviter le sujet pour ne pas déclencher de dispute. Mais ce silence peut installer un malaise durable.
Pour ouvrir la discussion :
- Utilisez le “je” : « Je me sens blessé.e », « Je me sens mis.e à l’écart. »
- Posez des questions sincères : « Qu’est-ce que ça t’apporte ? »
- Partagez vos inquiétudes : « J’ai peur qu’on s’éloigne. »
- Cherchez des solutions ensemble : « Comment on peut préserver notre intimité ? »
En parler, c’est reprendre la main.
C’est reconnaître qu’on veut protéger la complicité et la confiance.
Et si c’est trop dur à aborder seul.e ? Un sexologue, un conseiller conjugal, peut offrir un espace sécurisé pour dire ce qui fait peur, ce qui fait mal, et trouver ensemble des chemins pour se retrouver.
Parler de porno, c’est finalement parler de désir, de peurs, de fantasmes. C’est choisir de ne pas laisser un écran s’intercaler entre vous.
Regarder du porno détruit-il la relation de couple ?
Pas toujours, mais il peut fragiliser profondément le lien.
Tout dépend de la place que la pornographie prend dans la vie de chacun. Quand elle devient fréquente, cachée, ou qu’elle remplace les moments partagés, elle crée de la distance et un sentiment d’exclusion.
Pour certaines personnes, le porno devient une échappatoire : une manière de se rassurer, d’éviter les frustrations ou la peur de l’échec. Mais plus on s’y réfugie, plus la sexualité réelle peut sembler fade, moins spontanée.
Ce qu’il faut savoir :
- La consommation excessive de pornographie peut créer un besoin de stimuli toujours plus forts, qui désensibilisent le désir à deux.
- Elle nourrit des attentes irréalistes sur le corps, la durée, la performance.
- Elle peut être vécue comme une trahison ou une infidélité symbolique.
Le problème n’est pas forcément le porno en soi, mais le fait de ne jamais en parler, de le cacher ou de s’y enfermer. C’est le silence et l’isolement qui abîment le couple.
Quand le sujet est abordé ouvertement, il est possible de poser des limites, d’exprimer ses besoins et de retrouver une sexualité partagée, plus authentique.
👉 Si la situation vous inquiète, n’attendez pas que la confiance se fissure davantage. Un conseiller conjugal ou un sexologue peut aider à y voir plus clair et à sortir des reproches pour avancer ensemble.
Vous avez des questions ?
FAQ Complète
01 84 73 02 37
bonjour@coopleo.care

