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Comment savoir si vous vivez des violences conjugales ?

✔ Vous vous sentez rabaissé(e), humilié(e) ou intimidé(e) par votre partenaire.

✔ Vous avez peur de ses réactions et évitez de dire ou faire certaines choses.

✔ Vous vous sentez isolé(e) ou coupé(e) de vos proches.

✔ Vous doutez de vous-même ou vous vous demandez si c’est vraiment “si grave”.
Comment mettre fin aux violences dans votre couple?
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avec la conseillère conjugale et familiale Florence Peltier. En solo ou en couple. Définissez vos objectifs et posez le cadre de votre séance.
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Reconnaître la violence pour s'en libérer
Les multiples visages de la violence dans le couple
La violence conjugale ne se limite pas aux coups. Elle peut prendre des formes très diverses, toutes reconnues par la loi.
1. Violence physique
- Coups, gifles, bousculades, étranglement
Utilisation d’objets ou d’armes
2. Violence sexuelle
- Viol ou agressions sexuelles
- Rapports non consentis ou imposés par la contrainte ou la pression
- Harcèlement ou exploitation sexuelle
3. Violence psychologique et verbale
- Insultes, humiliations, menaces
- Dévalorisation constante, chantage émotionnel
- Isolement social, interdiction de voir ses proches
- Surveillance, critiques sur la tenue ou les choix de vie
4. Violence économique ou administrative
- Confiscation ou contrôle du salaire ou du compte bancaire
- Interdiction de travailler, pressions pour arrêter son activité
- Imposition de dépendance financière
- Rétention ou destruction des papiers d’identité
5. Violence numérique ou technologique
- Surveillance des téléphones ou des comptes en ligne
- Harcèlement par messages ou appels répétés
- Publication ou menace de publier des contenus intimes
- Contrôle des réseaux sociaux
La violence est subtile ou insidieuse
La violence conjugale n’est pas toujours brutale ou spectaculaire.
Elle peut s’installer progressivement, de façon subtile et insidieuse, jusqu’à devenir normale aux yeux de celui ou celle qui la subit.
Parfois, il n’y a pas de coups ni de cris. Mais il y a :
Des petites phrases humiliantes, répétées jour après jour : « Tu es nul·le », « Tu n’arriverais à rien sans moi ».
Des critiques constantes sur la façon de s’habiller, de parler ou d’élever les enfants.
Des silences froids et méprisants, utilisés pour punir ou contrôler.
Le chantage émotionnel : « Si tu m’aimais vraiment, tu ferais ça », « Tu vas me quitter, je me tuerai ».
La surveillance des appels, des réseaux sociaux ou des dépenses, sous couvert de « protéger » ou « vérifier ».
L’obligation de demander la permission pour sortir ou voir ses proches.
Des menaces voilées : « Fais gaffe », « Tu vas voir », même dites sur le ton de la plaisanterie.
La pression pour arrêter de travailler, pour dépendre financièrement.
La dévalorisation de ses compétences : « Tu es folle », « Tu n’as pas de jugeote ».
La culpabilisation systématique : « Si je m’énerve, c’est de ta faute », « Tu me pousses à bout ».
Toutes ces attitudes ne laissent pas forcément de bleus sur la peau, mais elles laissent des traces profondes dans la tête et le cœur.
La violence conjugale peut se mettre en place lentement, par petites étapes, si bien qu’on ne la voit pas toujours venir. C’est justement cette progression insidieuse qui la rend difficile à identifier et à dénoncer.
Comment savoir si ce que je vis est de la violence ?
La violence conjugale n’est pas toujours évidente. Elle peut être insidieuse, progressive et se présenter sous forme de moqueries, de contrôles subtils ou de chantage émotionnel.
Pour aider à y voir clair, des associations ont créé le Violentomètre : une échelle simple et visuelle qui classe les comportements en trois zones :
✅ Vert : respect et équilibre
⚠️ Orange : alerte, comportements inquiétants
🚨 Rouge : violences avérées et dangereuses
➜ En le parcourant, on peut repérer des signes qu’on minimise ou qu’on normalise. Même un seul point en rouge est un signal sérieux.
📥 Téléchargez le Violentomètre pour évaluer votre situation ou aider un proche.
✅ Si vous vous sentez en danger :
Appelez le 17 ou le 112.
SMS au 114 si vous ne pouvez pas parler.
Appelez le 3919, numéro gratuit et anonyme d’écoute et d’orientation.
Pourquoi il faut oser mettre des mots dessus ?
La violence conjugale se nourrit du silence, de la honte et de la minimisation.
Beaucoup de victimes se disent : « Ce n’est pas si grave », « C’est de ma faute », « Il ou elle va changer ».
Mais la violence a tendance à s’aggraver avec le temps.
Mettre des mots dessus, c’est refuser de subir en silence et prendre un premier pas vers la protection et la liberté.
Les conséquences si l'on ne dit rien
Subir des violences conjugales n’est jamais anodin.
Perte de confiance en soi, culpabilité constante.
Stress, anxiété, troubles du sommeil ou de l’alimentation.
Risque d’escalade des violences, danger pour sa vie.
Impact profond sur les enfants : peur, insécurité, reproduction des schémas violents.
Isolement social et rupture des liens familiaux ou amicaux.
✅ Personne ne mérite de vivre dans la peur ou l’humiliation.
En parler, demander de l’aide, c’est un acte de courage et une étape vers la reconstruction.
Quand l’amour fait mal
Les violences conjugales ne se limitent pas aux coups. Ce sont toutes les formes de comportements ou de paroles qui visent à contrôler, humilier, blesser ou faire peur à son partenaire.
C’est l’exercice de pouvoir d’un conjoint sur l’autre, qui détruit peu à peu l’estime de soi, la sécurité et la liberté.
La violence conjugale n’est pas un simple « conflit de couple ».
C’est un rapport de domination qui s’installe, souvent de manière progressive et insidieuse.

FAQ sur les violences conjugales
Comment reconnaître les premiers signes de violence conjugale ?
Contrôle excessif, isolement et humiliation sont des signaux d’alarme.
Les premiers signes de violence au sein du couple incluent le contrôle excessif, l’humiliation, les critiques destructives, la jalousie maladive et les menaces. Ce sont des signaux d’alarme à prendre au sérieux. L’emprise et le cycle de la violence s’installent progressivement : l’auteur des violences alterne entre périodes de tension, explosion violente puis réconciliation.
Ces comportements évoluent généralement vers différentes formes de violences conjugales :
- Violence physique – Coups, gifles, strangulation, blessures, séquestration, agressions corporelles qui causent des dommages physiques ou mettent en danger la sécurité.
- Violence psychologique – Menaces, intimidation, humiliations répétées, isolement social, contrôle excessif, chantage affectif et manipulation émotionnelle qui détruisent l’estime de soi.
- Violence sexuelle – Rapports forcés, agressions sexuelles, contrainte à des actes non désirés, utilisation de la sexualité comme moyen de domination et de contrôle.
- Violence économique – Contrôle des finances, interdiction de travailler, confiscation des revenus, endettement forcé, chantage financier créant une dépendance économique.
- Violence numérique – Surveillance des communications et réseaux sociaux, géolocalisation forcée, diffusion d’images intimes, cyber-harcèlement, contrôle des activités numériques.
J'ai besoin d'aide : je subis des violences conjugales
Les victimes de violences conjugales peuvent composer le 39 19 : votre sécurité est la priorité absolue.
En cas de danger immédiat, les victimes de violences conjugales peuvent demander un Téléphone Grave Danger (TGD), dispositif de téléprotection des personnes en grave danger..
Dans un premier temps, ces démarches de protection et de signalement sont indispensables pour garantir votre sécurité.
Dans un second temps, uniquement si la violence a été “modérée” et constitue un cas isolé, et que le partenaire violent reconnaît ses actes et exprime une réelle volonté de changement, une thérapie de couple peut être envisagée.
Quelles sont les conséquences légales pour l'auteur de violences conjugales ?
La violence conjugale est un délit pénal passible de prison ferme.
Les violences commises au sein du couple sont punies de 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. En cas de violences ayant entraîné la mort ou d’autres types de violences graves, les peines peuvent atteindre 5 ans si l’incapacité de travail est supérieure à 8 jours.
Le juge peut ordonner une interdiction de contact avec la victime, une éviction du domicile, et le port d’un bracelet anti-rapprochement. La prise en charge des violences conjugales par la justice renforce les sanctions en cas de récidive.
Le procureur de la république peut également retirer l’autorité parentale dans les cas graves, particulièrement pour protéger les enfants des violences sexistes et sexuelles. La lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre les violences faites aux femmes reste une priorité judiciaire.
Comment aider un proche victime de violence conjugale ?
Votre soutien peut sauver une vie.
Pour accompagner une victimes de violences, écoutez sans juger et évitez de dire “pourquoi tu ne pars pas ?”. Respectez son rythme tout en lui rappelant qu’elle mérite d’être protégée. Protéger et accompagner les enfants du couple est aussi crucial car ils sont souvent témoins de ces violences.
Voici les numéros à connaitre :
Le 3919 est la ligne d’écoute nationale destinée à toute personne se posant des questions sur des situations de violences. Anonyme et gratuit, il est accessible depuis un poste fixe et un mobile en métropole et dans les DROM
Numéros d’appel d’urgence : appelez le 17 (police/gendarmerie), le 112 (urgences européennes) ou envoyez un SMS au 114 pour les personnes sourdes ou malentendantes.
Si vous êtes témoin de violences conjugales, alertez les autorités compétentes.
Quelles sont les étapes entre l'acte de violence et le départ du foyer ?
Partir n’est pas simple, surtout quand on vit sous emprise ou dans la peur.
Entre l’acte de violence et le départ, il y a souvent plusieurs étapes difficiles mais importantes :
✅ 1. Reconnaître la violence
Comprendre que ce n’est pas « normal », que ce n’est pas de l’amour et qu’aucune provocation ne la justifie. Mettre des mots dessus est souvent le premier pas.
✅ 2. Rompre le silence
Parler à une personne de confiance : ami·e, famille, professionnel de santé, travailleur social. C’est une façon de vérifier ses perceptions et de ne plus être seul·e.
✅ 3. Évaluer la dangerosité
Comprendre si la situation est en train d’escalader : menaces plus graves, isolement renforcé, agressions répétées ou aggravées.
✅ 4. Se renseigner sur ses droits et ses options
Prendre contact avec des associations, le 3919, ou des professionnel·les pour savoir : où aller, comment porter plainte, quelles aides sont disponibles.
✅ 5. Préparer son départ en sécurité
Cela peut vouloir dire : mettre de côté des papiers, un sac, prévenir quelqu’un, planifier où aller. Des associations peuvent aider à organiser cette étape en toute confidentialité.
✅ 6. Partir
Décider de quitter le foyer est une étape difficile, parfois dangereuse : il est essentiel de chercher de l’aide pour le faire en sécurité.
✅ 7. Se reconstruire et se protéger
Après le départ, il peut rester des menaces : besoin de protection, procédure judiciaire, accompagnement psychologique ou social. Des associations et professionnels sont là pour soutenir sur la durée.
➜ Vous n’êtes pas obligé·e de faire toutes ces étapes seul·e. De nombreuses structures spécialisées peuvent vous accompagner à chaque étape, pour vous protéger et vous aider à reprendre le contrôle sur votre vie.
Vous avez des questions ?
FAQ Complète
01 84 73 02 37
bonjour@coopleo.care

